Le ministre de l’Education Nationale, et la ministre déléguée ont effectué une descende de terrain pour vérifier l’avancement des travaux de construction et de réhabilitation de 5 établissements scolaires. C’était le 18 août dernier que la visite a été effectuée sur les chantiers dans deux communes dont Libreville et Akanda.
Pour ce qui est du programme de construction des et de réhabilitation des établissements scolaires ainsi que des salles de classes, issues du projet d’investissement dans le cadre du ministère de l’Éducation Nationale, le ministre de l’Enseignement supérieur et de l’Education Nationale, le Pr. Patrick Mouguiama-Daouda, et son ministre délégué, Camélia Ntoutoume-Leclerq sont allés visiter les chantiers sur les cinq sites retenus depuis lors par le ministère.
Sont concernés par cette visite le quartier Ondogo où actuellement une école primaire est en construction de ce côté. Il y a également le quartier Alibandeng, avec la sortie de terre d’une école pré-primaire, d’une école primaire et d’un Collège d’enseignement secondaire. Voici ce qui est de la zone de Libreville.
Dans le nord de la capitale, plus précisément à Akanda, le Cap Estérias voit la construction d’un CES et la réhabilitation de deux vieux bâtiments de 9 salles de classe. Toujours dans la réhabilitation, à Avorbam le ministre et son délégué ont constaté les travaux d’extension d’un CES dans ce quartier, avant de se rendre à Angodjé où a lieu le même exercice en ce qui concerne une école primaire.
Pour le Pr. Patrick Mouguiama-Daouda, « tous ces établissements doivent ouvrir à la rentrée prochaine, ils viennent compléter le dispositif général d’ouverture et d’augmentation de l’offre en matière éducative. Ces cinq établissements entièrement construits et financés dans le cadre du Pise doivent être livrés cette année. Ces établissements vont nous permettre d’absorber et de diminuer progressivement les effectifs pléthoriques dans les établissements de la capitale. Le Pise a commencé au sud de Libreville, aujourd’hui nous sommes au Nord et ensuite on ira dans le Grand Libreville ».
John ENING