« Il y a quelque chose de plus fort que la mort, c’est la présence des absents dans la mémoire des vivants »* disait Jean D’ormesson.
Il restera de toi, dans la mémoire collective, ce que tu as donné au Gabon. Il restera de toi ce que tu as apporté au football gabonais. Il restera de toi ce que tu as inscrit dans la mémoire des inconditionnels de l’équipe nationale.
Ces frissons, ces émotions uniques et ce pied gauche magnifique, tantôt inique pour les adversaires et tantôt salvateur pour le Gabon, ton pays, que tu as tant aimé mais qui ne t’a peut-être pas récompensé à ta juste valeur.
J’adresse à toute sa famille biologique, footballistique et sportive mes condoléances les plus sincères.
Théo, Puisse le Très-Haut t’accueillir en son Royaume.
Repose en Paix l’artiste.
Hervé Patrick Opiangah