Encore une énième fois, la prise de parole publique de Gérard Ella Nguema le 21 mai 2022 devant la presse publique allait dans le sens du comportement du manque publiquement d’incivisme du ministre de l’Intérieur gabonais Lambert Noël Matha. Selon l’opposant de l’interposition : ” le Front patriotique gabonais prend acte de ce comportement injustifié pourtant les règles en vigueurs n° 46 des dispositions françaises de 1980 sont claires et nettes et personne en territoire français ne peut s’y opposer”, s’est-il insurgé face à la presse.
D’après ce leader charismatique et osé de l’opposition, ” il manque un esprit aux autorités gabonaises parce que d’une manière inacceptable le président de la République Ali Bongo Ondimba les notions démocratiques au profit de la France et d’autres relations qui ne profitent pas aux Gabonais”, a-t-il une fois de plus expliqué.
Pourtant, une opposition existante et percutante depuis 2026, mais manque de peau, pour une question ouvertement logique, le ministre de l’Intérieur n’a semble-t-il pas pu comprendre cette situation profitable à la nation, ou se désengagerait -t- il de sa vision prospective ? : ” où sont doc passés les principes d’égalités devant la loi et le respect des droits individuels ? Face à cette situation exécrable et honteuse, je saisis la haute cours africaine”, a-t-il par la suite déploré.
Pour plus d’une précision, c’est dans son courrier référencé n°00417/MI/SG/MB, que le ministre de l’Intérieur a purement et simplement déconseillé la tenue de cette marche pacifique. Pour justifier sa décision téléguidée, Lambert Noël Matha évoque démesurément les relations bilatérales qui existeraient d’une manière “déséquilibrée” entre le Gabon et la France.
Le fil est fin entre la vie démocratique et l’instauration d’une dictature ! Les Gabonais s’inquiètent de plus en plus des dérives du pouvoir. Cependant, depuis un temps très observé par l’opinion publique et toutes communautés, le ministre de l’Intérieur prend des décisions inquiétantes.