La cacophonie et le mensonge sont devenus une règle pour les différents premier ministres d’Ali Bongo Ondimba. Ce n’est pas à la veille d’une élection présidentielle que de pouvoir publics soucieux de leur populations doivent penser résoudre les problèmes importants des population.
Mème l’aéroport international Ali Bongo Ondimba de Port-Gentil où les travaux de réfection sont d’une date récente le constat des différentes défaillances principalement dans l’entretien des équipements, parmi celles-ci, le problème de climatisation, notamment au niveau du nouveau terminal qui pose « un sérieux problème qui met à mal les différents voyageurs », souligne chef d’unité de maintenance des équipements et infrastructures aéroportuaires.
Parmi les travaux à refaire, il faut inclure également le système d’aération ainsi que le déficit en approvisionnement d’eau et d’électricité. Les équipements de radioscopie qui permet d’inspecter, filtrer aussi bien les personnes que leurs bagages nécessitent également, selon le personnel de cet aéroport, un changement.
« Tous ces équipements sont atteints par le défaut d’entretien, il faut le dire, de nos aéroports qui sont eux-mêmes affectés par des problématiques d’ordre foncier. Et donc, tout ceci constitue des éléments de sécurité que nous porterons à l’attention du gouvernement de telle sorte que les estimations notamment chiffrées qui seront faites puissent être éventuellement prises en compte dans la loi de finance rectificative 2022 », identifie le ministre des Transports, donnant un air incertain quant à l’exécution de ce projet réchauffé.
L’aéroport de Port-Gentil avait déjà été réhabilité en 2011. Financés par la compagnie pétrolière Total Gabon, les travaux avaient couté 73 milliards de FCFA. Moins de 15 après, nous attendons de voir le coût de la facture de ce projet que les fonds dégagés ne serviront qu’à payer les maquettes.
Il faut noter les aéroports provinciaux de Lambaréné, Koula-Moutou, Tchibanga, Oyem, Bitam, Franceville, Port-Gentil, Makokou et Omboue sont concernés par cette vision perspective de Brice Constant Paillat.