La lutte contre le Coronavirus est l’affaire de tous, même celle des entreprises implantées au Gabon. C’est d’ailleurs le cas pour Olam et Gsez qui ont décidées d’assister le gouvernement dans les mesures d’accompagnement. Les deux géants ont ainsi offert à la banque alimentaire 150 tonnes métriques de produits alimentaires.
Un important don d’aide alimentaire a été effectué par les structures Olam et Gsez à la population gabonaise qui est actuellement en confinement. Cette aide ira tout droit dans la banque alimentaire créé par le gouvernement pour la circonstance. Ce don vient à point nommer pour lutter efficacement contre le Covid-19 surtout après les mesures d’accompagnement érigées pour soutenir la population dans cette pénible traversée.
En effet, les deux entreprises ont offert à la banque alimentaire 50 tonnes de riz, 50 tonnes d’huile de palme et 50 tonnes de savon, c’est-à-dire, 60 mille bouteilles d’huile, 200 mille barres de savon et 50 paquets de riz ; des produits utiles et non périssables, des produits de première nécessité pour que la population gabonaise, principale bénéficiaire, passe confortablement son confinement.
Etant donné la situation actuelle, avec la crise sanitaire mondiale, ces structures se veulent citoyennes en cette période difficile pour les ménages. Ces deux entreprises contribuent également à leur manière à accompagner l’Etat, et répondent favorablement à l’appel du gouvernement. Gagan Gupta, PDG du groupe, ami du Gabon et au chevet du peuple gabonais prend également conscience que l’entreprise qu’il dirige a sa part de responsabilité dans la gestion de cette crise. Raison pour laquelle son implication est totale et inconditionnelle.
Présentent au Gabon depuis plus de 10 ans déjà, Olam et GSEZ Arise font quasiment partie du quotidien des Gabonais, et l’initiative faite par ces entités traduit le soutient incommensurable dont bénéficie la population. D’ailleurs, à cette occasion, le ministre du commerce Hugues Mbadinga Madiya a qualifié Olam et Gsez Arise de “partenaires naturels inconditionnels du Gabon”. Preuve que l’intégration de ces structures en terre gabonaise est une réalité.